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SNCM : Le cours normal des rotations

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SNCM : Les marins reprennent le travail

Les marins CGT de la Société nationale Corse Méditerranée ont voté vendredi la reprise du travail. Après 47 jours d'une grève qui a paralysé les activités de la compagnie maritime durant sept semaines et alors que la tension commençait à monter en Corse, essentiellement du côté des socio-professionnels, les grévistes se sont ralliés aux arguments de la direction.

Réunis en assemblée générale  à bord du Paglia Orba bloqué à quai à Marseille depuis le 31 janvier, les grévistes se sont prononcés à "l'unanimité" pour une reprise du travail qui devait se concrétiser dans la soirée.
"Nous avons voté la reprise à l'unanimité et on a réussi à amener la direction à revoir ses batteries sur son plan de démantèlement de l'entreprise soulignaient les grévistes qui, par ailleurs, auareint obtenu à préserver "l'unicité de l'entreprise" sur ses lignes de Corse et du Maghreb.

Un premier ferry devait quitter la citée phocéenne dans la soirée à destination de la Corse tandis qu'un deuxième bateau - le Pascal Paoli en l'occurrence -partira de Bastia pour rallier Marseille.

Selon ce qu'il nous été donné d'apprendre il semble que les marins ont reçu des garanties sur la pérennité de la compagnie et sur l'emploi au sein de l'entreprise.

Du côté de la direction on souligne que "le protocole de sortie de grève acte que le redéploiement de l'activité repositionnée de Nice sur Marseille, mobilise un navire de moins et n'a pas d'incidence sur l'emploi, sur l'offre commerciale sur la Corse"

"En geste d'accompagnement, la direction a proposé la requalification de 14 postes de marins, ceci à effectif constant, sur les cargos mixtes de la Compagnie", a-t-elle ajouté.

La grève avait été lancée par la CGT et le Sammm (Syndicat autonome des marins de la marine marchande) après la décision du port de Nice de réduire le nombre de rotations vers la Corse et le non remplacement par la direction de la SNCM d'un navire à grande vitesse, le Liamone, qui les assurait.

La SNCM a enregistré en 2010 une perte d'exploitation d'environ 15 millions d'euros pour un chiffre d'affaires de 285 millions d'euros.

La direction de l'entreprise a estimé le coût des impacts directs et indirects du la grève qui s'achève, à 13 millions d'euros alors que s'ouvre la période de réservations pour la saison estivale.
Reste à savoir à présent à mesurer les impacts réels sur l'économie de l'île, mais plus encore à faire en sorte qu'un conflit de ce genre ne se reproduise plus...

 

Charles Santoni transféré à Borgo

Charles Santoni a été transféré hier à Borgo.
L'annonce a été faite par son avocat à Paris. Santoni est donc le premier détenu corse autorisé à purger sa peine sur l'Ile, conformément à ce qu'avait annoncé le ministre de la Justice le 2 Mars dernier à l'issue d'une réunion à Paris avec une délégation d'élus insulaires.
Dans un communiqué indique Santoni est arrivé jeudi en Corse
"Il s'agit du premier prisonnier politique corse que l'Etat français accepte de voir exécuter une peine en Corse.
Et Me Mercinier d''ajouter : "on se gardera bien de comprendre le transfèrement de Charles Santoni comme une mesure de mansuétude dont il faudrait être reconnaîssant: en réalité, il est uniquement un terme à un comportement illégal que l'Etat français fait subir à Charles Santoni et à ss proches depuis quinze ans. Dès lors, force est d'attirer l'attention sur les nombreux prisonniers politiques corses à l'encontre desquels l'Etat français poursuit ce comportement illégal" ajoute Me Mercinier.

SMS : De la prison ferme et avec sursis requises à Marseille

Le procureur Marc Rivet a requis des peines d'emprisonnement ferme et des peines avec sursis contre la vingtaine de prévenus impliqués dans l'affaire de la SMS.
Parmi ceux-ci, c'est contre Jean-Claude Nativi, que  la peine  la plus lourde a été requise , soit 4 ans dont 2 avec sursis, pour "escroquerie en bande organisée, abus des biens d'une Sarl à des fins personnelles et recel."
Une peine de deux ans d'emprisonnement avec sursis a été réclamée contre Jean-Christophe Angelini. Le procureur a demandé au tribunal d'infliger la même peine, contre le président de la commission d'appel d'offres de la CCI du Var, Gérard Cerruti, réélu en 2010 à la tête de l'Union patronale de ce département.
Les autres réquisitions concernent notamment Jean-Luc Schnoebelen, soupçonné d'avoir aidé Antoine Nivaggioni, fondateur de la SMS et principal suspect de cette affaire (assassiné en octobre) à se procurer un faux passeport  (deux ans dont un avec sursis), Raymond Ceccaldi (3 ans dont 2 avec sursis, François-Marie Pantalacci (2 ans dont 18 mois avec sursis), Antoine Quilichini (12 mois dont six avec sursis, 10.000 euros d'amende), Vincent Royer (12 mois dont 8 avec sursis), François Torre (12 mois dont 8 avec sursis et 30.000 euros d'amende), Michel Gasbaoui (18 mois dont 12 avec sursis) .
Le procès doit s'achever dans le courant de la journée de vendredi.
Le jugement sera ensuite mis en délibéré.

 

Léger pic de pollution à Bastia

"Pendant la nuit du 15 au 16 mars 2011, la concentration de particules en suspension dans l'air
dans l'agglomération bastiaise a légèrement dépassé la valeur de 80 micro-gramme/m calculée, comme le prévoit la réglementation, en moyenne sur 24 heures" indique dans un communiqué la préfecture de Haute-Corse.
"Cette valeur correspond au seuil de recommandation et d'information du public au-delà duquel il existe une potentialité d'effets limités et transitoires pour la santé de certaines catégories de
population particulièrement sensibles.
L'intensité du pic de pollution a été faible, puisque la concentration maximale de particules en
suspension a été de 82 microgramme/m3 à 1h du matin".
"La durée du dépassement du seuil a été très courte, comme l'ont montré les données
transmises par Qualitair Corse. Ainsi l'évolution des concentrations en moyenne glissante 24
heures depuis le pic de la nuit du 16 mars met en évidence un abaissement de la concentration
au dessous du seuil de 80 microgrammes/m3 dès la mesure faite dans l'heure suivante. Elle est passée audessous des 50  microgrammes/m3 en fin de journée.
La faible intensité et la brièveté de la pollution n'ont pas nécessité de procéder à l'émission de
recommandations sanitaires et comportementales.
Cet épisode de pollution de l'air a toutefois permis de tester l'efficacité du dispositif de veille et
d'alerte.
Par ailleurs, l'origine naturelle des particules en suspension a été confirmée par les services de
Météo France. Une courantologie stable de sud-est est à l'origine du transport des particules desable saharien.
Elle devrait subir un net changement aujourd'hui."

Frédéric Alpozzo

" Une compagnie régionale ? Ce n'est pas d'actualité !"

Frédéric Alpozzo, le secrétaire général de la CGT des marins, garde le cap.
Mercredi, en fin de soirée, après que l'assemblée générale des marins de son syndicat se soit prononcée pour la poursuite du mouvement de grève tant qu'elle n'aura pas eu toutes les réponses aux questions posées lors du dernier conseil de surveillance de la compagnie, il était encore à la barre pour répondre aux questions de CNI.
- Alors reprise ou pas ?

- Nous attendons toujours des réponses à certaines questions qui sont pour nous indispensables pour garantir la flotte, les emplois et les salaires des marins de la SNCM.
- Lesquelles?
- La présence des navires de la compagnie Louis Dreyfus sur les lignes de Tunisie . Elle assure un service passagers sous pavillon étranger. Des discussions étaient en cours entre les deux armateurs pour définir comment mettre sur pied des activités complémentaires sur l'Afrique du Nord. Si la situation allait perdurer cela obérerait d'autant nos activités. Aujourdh'ui la qualification de Dreyfus manque de clarté et cela pose le, grave, problème de la défense du pavillon français qui relève des compétences du ministère des Transports.
- Ne craignez-vous pas, à la longue, de vous couper de la Corse et des Corses?
- C'est l'image que l'on veut donner de nous. Nous sommes bien conscients de ne pas nous rendre populaires, mais ce n'est pas ce que nous recherchons. Pour nous il s'agit de défendre les emplois et le service public. Jusqu'au blocage de la CMN, parce que nous n'avons pu faire autrement, l'île n'a pas trop pâti du conflit. Mais si nous n'étions pas passé par cette étape, il n'y aurait jamais eu de réunion du conseil de surveillance.
On peut aussi inverser la question. Pourquoi, par exemple, la direction de la SNCM et l'Etat se désintéressent-ils autant de la Corse?
Mais, en amont du conflit, nous avions alerté les présidents de l'assemblée de Corse et du Conseil exécutif du sort fait par la SNCM à la desserte du port de Nice. Et tous les deux avaient, à l'époque, dénoncé la façon dont ils avaient été mis devant le fait accompli.
Difficile de ne pas réagir lorsque l'on annonce une réduction du service public, que l'on vous écarte d'Afrique du Nord ou qu'on laisse entendre que la Corse serait uniquement desservie par des cargos.
Aujourd'hui il en va aussi de l'intérêt de l'assemblée de Corse et de son conseil exécutif de garantir l'ensemble des activités de la SNCM, ses emplois et sa flotte.

- Que pensez-vous de la proposition du STC qui vous demande d'adhérer à son idée de compagnie régionale ?

- Ce n'est pas le problème le plus urgent. On peut effectivement songer à une nouvelle organisation qui sécuriserait et pérenniserait la compagnie. Mais que deviendrait, par exemple, la CCM si des compagnies low cost se positionnaient sur les principales destinations? La compagnie régionale supporterait les mêmes pertes. Mais, je le répète, ce n'est pas le  débat d'aujourd'hui : on peut  vouloir un tel dispositif, mais il faudra aussi du temps pour le mettre en place.
- Si le mouvement cesse demain combien faudra t-il de temps aux bateaux pour reprendre la mer?
-
Certains peuvent naviguer immédiatement. Mais 48 heures peuvent être nécessaires pour réarmer certains navires.
                                                                                                                                               C. M

 


SNCM : Rien n'a filtré du match de Paris

Ce n'est qu'au terme de l'assemblée générale que tiennent mercredi les marins grévistes de la SNCM que l'on saura, peut-être, ce qui s'est dit et ce qui s'est passé lors de la réunion du conseil de surveillance qui s'est réuni mardi au siège parisien de Veolia.
Pendant ce temps, dans une interview accordée à econostrum.info (http://www.econostrum.info) Pierre-Marie Bartoli, président de l'office des transports affirme qu'il "entend supprimer une partie des subventions  qui permettent à ces compagnies de proposer une offre de places trois fois supérieures à la demande".
Voci le texte de cet entretien.

 - La délégation de service publique se termine le 31 décembre 2013, mais sans attendre cette date vous proposez de modifier les règles du jeu. Pourquoi ?
- Un rapport du Sénat a pointé un certain nombre de problèmes. Il faut savoir que l'Etat nous verse tout de même 114 M€ pour le maritime au titre de la continuité territoriale. Il est normal qu'il s'intéresse à ce que nous faisons de cet argent.  

Pour différentes raisons, la DSP (délégation de service public) s'exerce dans des conditions économiques et financières très délicates. Elle produit une distorsion de concurrence car nous donnons une subvention à la SNCM (service de base et service complémentaire) et à la CMN (service de base) au départ de Marseille. 

Au départ de Toulon et Nice, des ports privés de DSP, nous allouons aux compagnies (Corsica Ferries et SNCM) une aide sociale qui est en fait une subvention déguisée, un lot de consolation. 

De plus, la crise mondiale et l'augmentation du prix du fioul ont mis la SNCM et Corsica Ferries dans une situation financière délicate. Elles sont toutes deux dans le rouge. Les conditions me semblent réunies pour prononcer la déchéance du contrat. Mais cela ne peut se faire qu'avec l'accord préalable des trois compagnies.
- Les négociations ont-elles déjà commencé ?
- Non. Nous préparons actuellement avec un cabinet spécialisé qui nous assiste une nouvelle DSP. Nous discuterons ensuite. Nous explorons toutes les voies. Je dis bien toutes. 

- Vers quel schéma vous dirigez-vous ?
- Pour l'instant il ne s'agit que de mes propositions. Il y aura obligation de service public au départ de Marseille, Toulon et Nice. La DSP et les subventions qui vont avec ne concerneront que le service de base, c'est à dire sept cargos mixtes (transport de camions et de passagers).  

Cette DSP sera effective à Marseille et/ou Toulon. Nous envisageons Toulon car le manque de fiabilité de Marseille pénalise de façon insupportable la Corse. Nous ne financerons plus le service complémentaire (les ferrys de la SNCM) et nous supprimerons l'aide sociale. 

- Une telle redistribution des cartes condamnerait la SNCM qui possède une flotte de 11 navires dont 4 cargos mixtes. Le port de Marseille devrait également beaucoup en souffrir. N'avez-vous pas peur des conséquences ? 

- Il appartient aux compagnies de s'adapter à nos besoins. L'argent économisé grâce à la suppression de l'aide sociale et du service complémentaire permettra de faire baisser le coût du transport d'une remorque au départ de Marseille, qui passera de 1 385 € à 950€, soit à peu près le tarif pratiqué par Corsica Ferries au départ de Toulon. 

Le nouveau préfet de Corse
Le nouveau préfet de Corse

Le nouveau préfet de Corse est né le 5 janvier 1952 à Thann (Haut-Rhin) , issu de l'ENA, promotion Fernand Braudel, il est licencié en Droit , en Anglais, chevalier dans l’Ordre de la Légion d’Honneur, chevalier dans l’Ordre National du Mérite et des Palmes Académiques .
Le nouveu préfet de Corse, préfet de la Corse-du-Sud est Officier dans l’Ordre du Mérite Agricole et médaille d’Argent de la Jeunesse et des Sports.
Patrick Strzoda a été successivement directeur de Cabinet du Préfet de la Dordogne (Périgueux), sous-préfet de Saint-Jean-de-Maurienne (Savoie) , secrétaire général du comité d’organisation des Jeux Olympiques d’Albertville, secrétaire général de la Préfecture de la Drome (Valence) et sous-préfet Politique de la Ville .
De 1995 à 1996 il a été sous-préfet d’Arles (Bouches-du-Rhône) puis directeur de l’Information et de la Communication au Ministère de l’Intérieur. De 16997 à 2002 il a occupé les fonctions de   secrétaire général pour les affaires régionales à la préfecture de la région Rhône-Alpes.
Préfet des Hautes-Alês ,  des des Deux-Sèvres, préfet détaché, directeur général des services du conseil général de la Savoie, préfet détaché, directeur général de l’Office public d’aménagement et de Construction du Rhône et, enfin, préfet des Hauts-de-Seine figurent aussi sur sa carte de visite.

Nous vous l'annoncions dès mercredi à l'issue du Coneil des Ministres. Patrick Strzoda est le nouveau préfet de Corse.
Avant sa prise de fonction, qui interviendra après le second tour de l'élection cantonale, il a accordé une mini-interview à Corse Net Infos.
En voici l'essentiel.
- Comment avez-vous accueilli votre nomination en Corse?

- Avec un réel bonheur. Parce que je peux continuer à exercer un métier où j’ai le sentiment d’être utile.Et parce que je vais l’exercer dans une région de France parmi les plus belles, une région qui a une identité forte et la volonté d’aller de l’avant.Donc, tout pour être un homme heureux !
- Etait-ce une demande de votre part?

- Non, je pensais rester encore quelques mois dans les Hauts-de-Seine, où je travaille beaucoup sur le dossier du Grand Paris. Au bonheur s’ajoute donc la surprise !

- La Corse, vous connaissez?
- Non. Mais toutes les personnes qui m’en parlent, et elles sont très nombreuses, notamment dans les Hauts-de-Seine, évoquent la Corse aux «mille paysages», comme le disait Fernand Braudel, une région tellement prenante, tellement attachante, et dans un cadre et un environnement tellement beaux. Une région qui démontre aussi, tous les jours, sa capacité à avancer, à progresser, à se développer.
- Votre «ordre de mission » ?
- Ce qui est au cœur de l’activité d’un préfet, ce sont les préoccupations de nos concitoyens.
La sécurité et la paix civile :  sans eux, il ne peut y avoir de développement soutenu et durable, en Corse comme partout ailleurs. -

L’emploi, avec le plan de mobilisation en faveur des jeunes et des chômeurs de longue durée notamment. Et, plus généralement, la poursuite de la mise en œuvre du plan de développement durable annoncé par le Président de la République dans le discours qu’il a prononcé à Ajaccio le 2 février 2010. De nombreux projets - essentiels au développement de la Corse - sont en cours ou déjà bien avancés. Dans le prolongement de ce qui a été fait sous la conduite de mon prédécesseur Stéphane Bouillon, il s’agit de poursuivre et d’amplifier le mouvement, car je suis convaincu que la clé du développement de la Corse, c’est le développement durable.

- Votre première action ?
- Comme tout préfet de la République qui prend ses fonctions, je déposerai une gerbe aux Monuments aux Morts d’Ajaccio, à la mémoire de tous les patriotes Corses qui ont écrit une page de notre histoire avec leur sang. Et ensuite, je me recueillerai devant la plaque érigée à la mémoire de Claude Erignac à la préfecture.
- Votre prise de fonctions ?
- Dans la première quinzaine d’avril.

Charles Monti : " Nous avons notre place "

Le directeur de la publication de Corse Net Infos explique dans une interview le sens de sa démarche. Pour lui CNI "a toute sa place dans le paysage des media insulaires"
PAGE A LA UNE

Corse Net Infos ? C'est fait !

Nous vous l'avions promis. C'est fait.
A partir d'aujourd'hui, et nous espérons pendant très longtemps, un site dédié à l'information gratuite vient se fondre dans le paysage des média insulaires.
Mais si "l'info" est à la base de cette démarche et si c'est elle qui dominera, CNI ne sera pas que cela.
Lors de la conception de ce projet, qui se concrétise aujourd'hui, toute notre équipe a voulu, aussi, faire de Corse Net Infos un outil au service de tous ceux qui, sur cette île, ont du mal à se faire entendre.
A faire passer leurs messages.
A dire  ce qu'ils sont.
Et à exposer les problèmes qu'ils rencontrent.
Loin de nous l'idée de vouloir nous substituer aux média qui font très bien leur travail.
Ou bien d'essayer de faire mieux qu'eux.
Nous sommes tous bien conscients à CNI qu'il faudrait bien plus qu'un journal gratuit en ligne pour les faire trembler.
Non. Notre objectif, à partir de ce nouveau média, qui sera accessible à tout le monde, aux quatre coins de la Planète, consistera plus humblement  à essayer d'apporter notre pierre à une meilleure lecture des problèmes corses et à un meilleur devenir de cette région, à partir des services que
nous proposons dès aujourd'hui à nos lecteurs.