SC Bastia : Adieu à la Ligue 2 à Istres !

Encore quatre-vingt-dix minutes et le Sporting en aura terminé avec le championnat de Ligue 2. Ensuite avant de se préoccuper de l'échelon supérieur, joueurs et staff prendront des vacances bien méritées. Ce vendredi  à 20 heures 30, devant les caméras d'Eurosport, les Bastiais clôtureront leur saison à Istres dans un match encore une fois sans enjeu d'un côté comme de l'autre. Les Provençaux savent qu'ils évolueront encore en Ligue 2 la saison prochaine, alors que les Bastiais sont fixés dépuis longtemps sur leur sort qui se situe à l'étage au-dessus…

Une rencontre qui verra aussi la présence – cette fois confirmée – du président de la Ligue de Football Professionnel qui remettra le trophée des champion de France de Ligue 2 aux Bastiais. Mais vexés de sa non-venue qui avait été annoncée 24 heures avant la réception du FC Nantes le 11 mai dernier, les dirigeants du Sporting ont annoncé à l'instance du football professionnel, qu'ils ne souhaitent qu'aucune cérémonie ne soit organisée (estrade, confettis etc..). De ce fait, il n'y aura donc pas de protocole. Frédéric Thiriez remettra très rapidement le trophée aux dirigeants, qui se chargeront eux-mêmes de le donner aux joueurs dans les vestiaires à la fin du match. 
Ce sera le seul "événement" de cette soirée au cours de laquelle les joueurs de José Pasqualetti voudront,  
pour  cette der devant leur public, effacer la  défaite enregistrée la semaine dernière à Lens qui est restée en travers de la gorge de tout l'effectif provençal "

Côté bastiais Frédéric Hantz demandera sans doute à ses joueurs, même si tous les objectifs sont atteints,  d'être plus concentrés que lors des trois dernières défaites enregistrées à l'extérieur.  Sur le pan de l' effectif, ni suspensions ni  blessures. Dès lors, c'est le groupe vainqueur de Nantes qui en finira avec la Ligue 2.

U gruppu turchinu :

Novaes, Vincensini, Sans, Cioni, Angoula, Harek, Mary, Choplin, Rothen, Thauvin, Khazri, Cahuzac, Diallo, Maoulida, Suarez, El Azzouzi.
                                                                                                                             André CARLI 

Écrire commentaire

Commentaires: 0