Festival du film court : Les Nuits méditerranéennes de Corte

Alix Ferraris, directeur du Festival et responsable de la sélection des œuvres présentées, a choisi la Cité Paoline et ville universitaire pour organiser les Nuits méditerranéennes et susciter des vocations au travers de la sélection des films étudiants en compétition. Cette sélection des œuvres estudiantines a été confiée à Virginie Estrem-Monjouste avec la participation de l’IUT de Corse et l’implication de son directeur Christian Cristofari fortement engagé dans ces actions culturelles.

Les Nuits Méditerranéennes qui s’adresse aux cinéastes du bassin méditerranéen se déroulent grâce à la collaboration de l’IUT de Corse, des régions, des pays, France Télévision et quelques productions cinématographiques.
La nuit France Télévision des films courts s’est déroulée le 26 septembre, au cours de cette compétition tri régionale : Corse – PACA – Languedoc Rousillon ont été selectionnés :
Pour la Corse
- Les vestiges de Cécile  de Silvert Thomas et Sylvain Nigaglioni
- Le mythe de Bastet de Christophe di Caro d’après le roman d’André-Jean Bonelli (Notre photo)
- Etreinte de Sébastien Jaudeau
- Des nœuds dans la tête de Stéphane Desmoustier.
Pour la région Provence -Alpes-Cote d’Azur
- Mar vivo de Cyril Brody
- Sibylle de Naël Marandin
- Action commerciale de Pascal Jaubert
- Ligne bleue d’Alain Sauma
Pour le Languedoc-Roussillon
- Prunelle et Mélodie de Mathieu Simonet
- Face à la mer d’Olivier Lousteau
Pour France télévisions
- Dans le cadre de Philippe Lasry
La compétition « étudiants » comportait 19 films et s’est déroulée le 27 septembre
La compétition internationale « aux couleurs de la méditérrannée présentait ses 30 courts métrages le 29 septembre
Quatorze films ont été présentés hors compétition.
Le festival 2011  a pris des allures de caverne d’Ali Baba pour les cinéphiles amateurs et les cinéastes en quête d’information. Une table ronde a été organisée pendant laquelle  des intervenants  des chaînes (Via Stella, France 2 et France 3, des producteurs et des acteurs socio-culturels de la région) ont répondu aux questions du public concernant les problèmes de production, post production formation et diffusion. C’est cette dernière question qui a soulevé le plus d’interrogations car sans diffuseur un film ne pourrait exister comme sans yeux pour l’admirer, le plus beau paysage du monde n’existerait pas !

Les intervenants lors de la table ronde.
Les intervenants lors de la table ronde.

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